Une rencontre innatendue... [ PV Tebal ]

Lorsque le destin s'acharne sur nous... Que peut-on faire ?

J'arpentais la forêt de ronces avec la plus grande aisance qu'il puisse exister. Je connaissais cette forêt comme ma fourrure, j'avais grandit ici dans cette forêt dite inhospitalière et dangereuse. Je ne craignais pas les ronces, venimeuses ou non au contact de ma fourrure elles se carbonnisaient aussitôt. Alors que pouvais-je risquer ici ?

Ma marche était calme, je surveillais mes terres, heureux d'avoir échapper à cette petite peste noire qui me coller au train tout en me prenant pour sa nouvelle maman. Non mais franchement, j'ai une tête de nounou ? J'ai allures fémines ? Nah ! Je soupirais, cette petite m'avait mis les nerfs en pelote rapidement. Pourquoi l'avais-je sortie de l'eau ? Quel bêtise.

Soudain mon pas ralentie, une odeur flottait dans les environs, légère. Je changea de cape suivant cette odeur inconnue à mes narines. j'espérait que ce soit un loup égaré d'une autre meute, pour que je puisse me défouler sur lui ! Mon pas s'accéléra doucement et je déboucha sur un endroit sans ronce, pas bien grand mais assez pour y mettre quelques loups. Je me figea sur place. Un louveteau. Encore. J'ouvris grand mes yeux étonnés, avant de marcher doucement pour fuir cet petit qui ne manquerait pas de me coller aux basques comme l'autre parasite noire.

Messages : 27 Réputation : 36 Date d'inscription : 27/06/2009 Age : 30

La forêt des ronces était peut être l'endroit le plus dangereux de ces terres, non peut être pas je l'avoue, mais vous imaginer atterrir ici à 6 mois,tout seul. Et bien c'est ce que vivait actuellement Spyro. Le corps de sa mère commençait à pourrir et l'odeur attirait tout les charognards de l'endroit. Un sanglier était venu et avait envoyé valser le louveteau qui voulait protéger la dépouille. Il était donc partit et d'un seul coup il sentit une odeur acre, comme de l'oeuf pourrie, et la ce loup grand fort, presque effrayant le vit et partit de l'autre coté.

"Grand dadet, ta raison part avant que je te casser les pattes en qouatre?"

Qouatre? Sa cassais un peu tout quand même mais bon un petit teigne sur patte, et arrogante en plus. Spyro était ainsi alors pourquoi changé? Le louveteaux partit de l'autre coté pour chercher de quoi manger,un bête au grande oreille plus grosse que lui était couché à bonne distance de lui, 3 mètre, pour un louveteaux hyper actif c'était vraiment rien. Spyro se mit à courir et attrapa le coup de l'animal fougueux au coup, mais ses dents était loin de suffire. Il se fit traîné sur une dizaine de mètre avant que l'animal ne fonce droit vers l'autre loup

Alors que je marchais j'entendis sa voix de filette effleurait mes oreilles. Je ne me retourna même pas, juste levant les yeux au ciel. Pourquoi il fallait toujours que je tombe sur ces arrogants pots de colle ? Bah au moins lui me collait pas aux basques, c'était déjà mieux que l'autre accarien de la crique aux coquillages.

J'avais donc reprit ma marche calme et puissante dans la forêt, brulant les ronces à mon simple passage. J'huma un instant une piste, une bonne bestiole était passée par là. Je suivis cette odeur hallèchante, avec une grande discrétion. Au bout de quelques foulées j'apperçue un gros raton laveur. Pas commun en ces lieux mais soit, il serait bon à cuire ! Malheureusement ma partie de chasse fut chamboulée lorsque j'entendis une course derrière moi et naturellement, mon repas partie précipitament sans que je ne puisse y poser mes crocs. Je grommela et me retourna, plein de rage. Celui qui faisait ce boucant le payerait de sa vie. Je vis alors ce moucheron accroché au coup d'un gros lièvre par vraiment satisfait de son attaquant, bien que lamentable et pas dangereux pour un sous. D'ailleur l'animal venait vers moi, paniqué il ne calculait même pas qu'il arrivait sur un prédateur bien plus dangeureux. Je gronda légèrement et attendis que l'animal passe à proximité. J'ouvris ma gueule rapidement et souleva le morveux roux qui tenait encore, mais pas pour longtemps, son copain le livère qui lui donnait de sacré coups de pattes. Bien fait pour lui.

Messages : 27 Réputation : 36 Date d'inscription : 27/06/2009 Age : 30

Spyro ne voulait pas lâcher,c'est pas ce truc deux fois plus grand que lui qui allait lui faire peur, mais il n'appréciait pas forcément le fait d'être traîné, cela le forçait à serré de plus en plus, au point qu'il sentit le sang couler dans sa gorge. Mais c'est que sa avait bon goût cette chose chaude. Mais soudain il se fit soulever du sol brutalement sans pour autant lâcher la bestiole, qui d'ailleurs lui mettait de sale coup de pied. Non mais oh, il se croyait où celui la, on le frappe pas comme sa. Le louveteaux continua de serrer de tout ses forces mais n'obtient que des coups de pied plus fort. Mais son cerveaux tournait à plein régime, il vit la patte du loup qu'il l'avait attrapé, Spyro commença à secouer sa proie de toute ses forces contre le poteau qui était la patte d'Argawaen. Finalement il senti un crac, un jet de sang dans sa gueule et la chose ne bougeait plus. Spyro la lâcha, et elle tomba à terre comme une pierre.

"C'est pas drôle il est cassé"

La torche se tourna et regarda le loup qui le tenait, c'est une vraie bête celui là, mais le louveteaux n'appréciait pas spécialement le fait d'être immobiliser. Il se mit à remuer dans tout les sens et finit par mordre le premier bout de loup qu'il put atteindre.

Je jubilais de voir cet asticot se débattre et faire son caïd entre mes crocs. Je prenais tout de même garde à ne pas brûler cet asticot à l’aide de mes crocs. Mais lorsqu’il lui envoya le lapin dans ma patte à plusieurs reprises, mes crocs devinrent plus chaud, histoire de calmer ses ardeurs puériles.

J’entendis également ce CRAC si particulier aux vertèbre se brisant. C’est qu’il avait un minimum de force ce chaton. J’eu un rictus lorsqu’il chouina que son lapin était cassé. Il ne connaissait pas la mort ou quoi ? On est pas dans le monde des bisounours, cela se saurait sinon !

Lorsqu’il me mordit avec ses dents en patte à modeler, je souris et le laissa tomber comme il avait fait avec son lapin. De ma patte avant je le plaqua au sol pour ne pas qu’il bouge. J’approcha mon museau du sien, à une distance évitant un petit coup de crocs. Je n’aimerais pas le tuer pour si peu.

Sur ce, je le lâcha et reprit ma marche habituelle, laissant mes empreintes brûlées sur la terre de la forêt. Je ne lui adressa aucun autre regard.

Messages : 27 Réputation : 36 Date d'inscription : 27/06/2009 Age : 30

Le louveteau n'avait pas eu le temps de répondre qu'il se retrouvait sous la grosse papate de loup qui puait l'oeuf pourrie à trois kilomètre. Non mais sa existe les bains franchement, et puis y se prenait pour ce machin tout gris là. Le louveteau sentait la chaleur anormale, du loup, sa lui rappelais sa mère encore vivante les dernier temps. Mais celui-ci ne broncha pas, il n'était blessé physiquement mais son orgueil si. Qu'es que vous voulez on se change pas.
Une fois libérer il retourner à cette bestiole qui l'avait traîner pour commencer à manger. Mais un bruit sourd qu'il connaissait le força a ce retourner, son ami le sanglier était encore là.

"TU veux quoi encore toi?"

0 ce moment la vilaine bêbête voulu éjecter Spyro que ne se verrait pas avoir deux, il mordit le groin du cochon sauvage qui ne sentait vraiment pas la rose. Le louveteaux restait accroché pour éviter une mort douloureuse mais à force de se faire taper contre tout ce qui venait il commençait à lâcher prise.

Je continua ma marche calme et matinale que je réalisais chaque jour. Je cherchais un adversaire de taille, pas à sauver des louveteaux puériles et arrogants ! J’étais énervé de l’attitude de ce petit, comment pouvait-on autant manquer de respect aux adultes alors qu’on pourrait en mourir en une morsure ? Je ne comprenais vraiment pas, mais qu’importe, cela n’est vraiment pas mes affaires. J’ai assez de choses à penser actuellement, notre continent comment à faire parler de lui, attirant les loups normaux désirant un pouvoir et vivre sans les bipèdes. Je ne comprenais vraiment pas leur raisonnement, toutes les rumeurs mentionnant Requiem parle bien des tensions dans notre famille si étrange…

Soudain je fus sortie de mes pensées, je n’avais pas entendu le maudit cochon arriver moi. Ce dernier me fonçant dans une patte arrière, la faisant fléchir. Aussitôt mes babines s’animèrent, se relevant au rythme d’un grondement sourd. Je me retourna, tous crocs dehors et oreilles plaquées sur mon crâne. Mes crocs étaient rougeoyant, mieux vaut ne pas me croiser de la sorte. Je regarda ce maudit cochon courir, foncer dans les arbres. Celui là finirait rôtis ! Je m’élança à sa poursuite, et aperçue cette forme rousse sur le groins, causant sa folie. Je leva les yeux exaspéré, j’aurais put ne rien faire mais ce dernier semblait se faire assommer et en très mauvaise posture. J’accéléra donc ma course et bondit sur l’animal qui au contact de mes griffes dans sa chaire hurlant à la mort. Immobile sous mon poids pour quelques secondes, je jeta un regard au louveteau, mais aussitôt l’animal se débâtie avec force et mérite. Rien n’est plus dangereux qu’un sanglier chargeant de colère. Je planta rapidement mes crocs dans sa gorge, brûlant ses poils et sa peau autour de l’impact de mes crocs. Le cochon continua d’hurler et de remuer, je me cramponna autant que je pus, devant parfois me repositionner car l’animal avait de la force par sa rage. Son sang coulait dans ma gorge, me faisant resserrer la mâchoire de plus en plus fort. Le sang gicla autour de ma figure, éclaboussant sans doute le louveteau au passage. Les spasmes de l’animal se calmèrent et finirent par ne plus être. J’ôta mes crocs de sa chaire cuite au niveau de la gorge. Passant ma langue écarlate sur mes crocs et mes babines couvertes de sang j’observais le louveteau toujours accroché au groins de l’animal. Soupirant je m’avança vers lui et reprit par la peau du cou, sans le brûler. Il ne lâcha pas de suite l’animal mais son poids était tel qu’il lâcha finalement la tête inerte du sanglier. Je le posa un peu plus loin, contre un arbre, à l’ombre pour qu’il récupère ses forces.

Messages : 27 Réputation : 36 Date d'inscription : 27/06/2009 Age : 30

Spyro ne voulait pas lâcher le sanglier, les il avait mal partout alors c'était peut être l'instinct de survie. En tout cas il ne voulait pas, n'acceptait pas, refusait l'évidence qu'il n'avait aucune chance, il revoyait sans cesse le cadavre de sa mère en train de ce faire dévoré par ce truc immonde. Non la mort il la connaissait trop bien pour un louveteau de son âge, il ne serait jamais comme les autres, jamais il ne pourra être simple, la haine commençait déjà à ronger son petit corps. Aujourd'hui c'est son arrogance qui le montre mais plus tard ce sera sans doue des bains de sang.

Mais finalement il lâche prise et se laissa faire résigner. Mais le louveteaux lança un regard noire, haineux à la dépouille qui avait encore des spasmes, non c'était trop facile, mourir ainsi alors qu'il avait dévorer sa mère. Il loupiot se relever difficilement, mais réussit, reprit son souffle pour finalement retourner s'acharner contre le corps sans vie,mordant, déchirant. Le sang qui recouvrait son pelage roux, il s'en moquait, il découvrait un sentiment, la haine et aussi l'envie de vengeance.

[petit désolé]

Je regarda ce jeune louveteau s’acharner sur la dépouille du sanglier. En quelle honneur ? Je ne savais pas, mais je voyais en lui une haine infinie envers le monde et ce qui l’entourait. Un sourire jubilatoire naquit aux creux de mes babines face à la réaction de ce louveteau.

«

»

Combien de fois avais-je ôter la vie de loup m’ayant pris de haut ? Je me venge du passé, du présent et du futur, ne laissant aucune occasion aux autres loups afin qu’il ne puisse me blesser. Tuer avant de se faire blesser, telle est ma devise.

Je m’assis alors face au louveteau, curieux de connaître ce loup qui sera plus tard un grand loup à coup sûr. Je le fixa de mon regard félin, sans le lâcher d’une seconde. Seules mes oreilles pivotaient au grés des sons émanant de la forêt de mon enfance.

«

»

Messages : 27 Réputation : 36 Date d'inscription : 27/06/2009 Age : 30

Spyro arrêta se s'acharner sur le sanglier, il n'en avait plus la force, et le sanglier ne bougeait plus mais sous ses maigres coups à causes des nerfs. La haine, sentiment étrange, mais Spyro le connaissais déjà bien. Peu de louveteaux avait conscience de la notion de vie et de mort aussi bien que lui, sa fratrie, sa mère, sa meute ... Il était le dernier d'une lignée, lignée qui grandit dans le sang des autres pour survivre.
Le louveteaux retourna contre l'arbre, s'allonger, la fourrure pleine de sang, mais cela il s'en moquait royalement. Il était attentivement le grand loup, il l'impressionnait, l'effrayait un peu, mais la torche devait avoué qu'il trouvait celui-ci impressionnant, il admirait presque, mais cela était sans doute dû au faite que Spyro n'avait jamais eu de père et cherchait maladivement une figure à s'identifier. Mais quand le loup lui demanda qui il était il ferma les yeux, il répondit ce qu'avait dit l'Alpha de leur meute, en regardant le dominant d'un regard haineux.

"Spyro... le fils du diable..."

Messages : 27 Réputation : 36 Date d'inscription : 27/06/2009 Age : 30

[up?]

Je le toisa longuement, sans me préoccuper de la dépouille du sanglier qui avait eut le malheur de croiser ma route en ce jour venteux. Ce petit alla s’allonger avec une aisance normale, comme s’il était chez lui. Sauf qu’il ne portait ma l’odeur du souffre qui caractérise les loups Saroki.

Je m’assis calmement, enroulant mon épaisse queue autour de mes antérieurs. J’eu un rictus sur le visage lorsqu’il me donna son nom. Levant les yeux au ciel, je me voyait pas pourquoi il portait un tel nom. Mon rictus devint un sourire plus étendu, plus vicieux. Je me leva et m’avança vers lui, comme s’il n’était qu’une proie que je chassais.

Un brasier naquit dans mon regard, sans que je ne lâche le pauvre louveteau de ce dernier. Ici c’était moi le diable, et personne ne dit le contraire, car c’est une évidence même.

Sans bouger d’un poil, un brasier nous encercla. Il apparut aussi vite qu’une averse mais ne se calmait pas. Etrangement ces flammes ne brûlaient pas les ronces, à quoi bon ? Argawaen souhaitait juste avertir ce petit têtu du lieu où il se trouvait.

Messages : 27 Réputation : 36 Date d'inscription : 27/06/2009 Age : 30

Spyro ne broncha pas, non les flammes l'avait toujours fasciné, il ne savait pas pourquoi, ça en devenait presque surnaturel. Les deux rubis injecté sang qui lui servait d'oeil prenait un aspect diabolique quand les flammes s'y reflétait. Spyro, son nom parlait de lui même, le feu serait toujours de près ou de loin dans sa vie. Finalement c'était peut être pour sa qu'on le rejetait toujours, il avait un potentiel destructeur sans pareil.
Le louveteaux se tourna vers le grand loups qui semblait vouloir l'effrayer, et bien c'est rater à tout point de vue, un rictus moqueur apparue sur ses babines, lui le diables? Il savait allumer des feu rien que par la pensée mais il ne ressemblait en aucun cas au diable, nul peur ne naissait dans le coeur de la torche quand il le regardait dans les yeux...

"Alors apprend moi à le devenir..."

[désolé du retard j'ai eu pas mal de soucie et d'occupation ces dernière semaine --]

[ Pas de soucis mon choux x) J'étais en vacances de toute manière ^^' Je répond normalement demain ]

Messages : 27 Réputation : 36 Date d'inscription : 27/06/2009 Age : 30

[N'up n'up ^^]

» Tebal ( ESPRIT DE LA GLACE ) Pris.